🔷 DIALOGUE :
Colette : Tenez Georges, c’est pour vous ! Joyeux anniversaire !
Georges : Mais merci Colette. C’est très gentil. Je ne m’y attendais pas du tout.
Colette : Oh, vous me faites marcher. Je vous offre un petit quelque chose chaque année quand même.
Georges : Ben oui… et comment pourrais-je oublier vos charmantes intentions ?
Colette : Et bien, vous ne l’ouvrez pas ?
Georges : Non,… euh si. Si, si… Alors… qu’est-ce que ça va bien pouvoir être cette année ?
Colette : Vous allez être surpris.
Georges : Vous croyez ? Ah, …. mais… c’est … mais qu’est-ce que c’est ?
Colette : Je l’ai préparée spécialement pour vous.
Georges : Ah, mais il ne fallait pas… Mais, il doit y avoir un problème, c’est tout gluant.
Colette : C’est une gelée à la menthe.
Georges : Oui, maintenant que vous me le dites, j’ai de la menthe plein les doigts. En tout cas, merci. Merci beaucoup, c’est vraiment très gentil de votre part.
Colette : Vous ne la goûtez pas ?
Georges : Non…. pas maintenant. Je sors de table.
Colette : C’est très léger, vous verrez. Je nous ai préparé des assiettes. Attendez ! Voilà… Je vais vous servir.
Georges : Merci… stop, stop ! Ça ira… Je viens de manger. Servez-vous ! Et bien… bon appétit Colette ! Bon appétit…
Colette : Merci. Alors ? Vous trouvez ça comment ?
Georges : Mais… eh eh, c’est … surprenant ! Voilà, c’est… hum ! Ça fond dans la bouche.
Colette : Je suis bien contente que ça vous plaise. Je vous en préparerai d’autres alors. J’en fais toujours trop, mon mari trouve ça infect. Je suis toujours obligée de la jeter.
🔷 QUESTIONS :
- Est-ce la première fois que Colette fait un cadeau à Georges ?
- Quel cadeau Colette a-t-elle offert ?
- Quel est le problème ?
- Que pense le mari de Colette de sa gelée ?
🔷 VRAI – FAUX
- Georges ouvre immédiatement le cadeau.
- Colette a déjà offert un cadeau d’anniversaire à Georges.
- Georges n’a pas très envie de goûter à la gelée de Colette.
- Georges n’aime pas beaucoup la gelée de Colette.
🔷 RÉPÉTEZ
- C’est vraiment très gentil de votre part.
- Je l’ai préparée spécialement pour vous.
- Il ne fallait pas.
- Oh, vous me faites marcher.